Il n'y a pas de petites économies. La Grande-Bretagne a décidé d'apporter sa pierre aux mesures d'austérité à l'ONU : pendant le mois de présidence britannique, en mars, le Conseil de sécurité ne se réunira plus le vendredi. 

Le service traduction de l'ONU en 1975. Photo/Yutaka Nagata

En s'abstenant de programmer des réunions du Conseil le vendredi, la présidence britannique affirme que l'ONU pourra économiser 5 millions de dollars par an en frais de traducteurs et gardes de sécurité et espère que les prochains présidents du Conseil feront de même. Le Conseil pourra évidemment se réunir le vendredi en cas de crise.